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Gérer l'urgence

 

A la Libération, la plupart des écoles sont en ruine. Pour les enfants dont les familles réintègrent progressivement la ville, la municipalité ouvre les écoles les plus épargnées, installe des baraquements ou aménage des classes de fortune, tandis que les communes environnantes continuent d’héberger des écoles nazairiennes. Dès fin 1945, on compte 16 écoles publiques nazairiennes réparties de Saint-Brevin au Pouliguen en passant par Saint-Nazaire qui compte alors
11 000 habitants.

Reconstruire

 

Selon le plan de reconstruction, chaque quartier doit être doté d’une école. Les premières écoles reconstruites traduisent l’ambition de la Ville en matière d’éducation. Faute d'argent, les suivantes sont construites dans le cadre de constructions groupées avec une architecture standardisée. Entre 1950 et 1958, dix groupes scolaires sont bâtis et à la rentrée 1958, les 263 classes nazairiennes accueillent 11299 élèves. 

 

La Ruée vers l'Ouest

 

Entre 1954 et 1975, la ville gagne près de 30 000 habitants et certains prévoient déjà 175 000 habitants en l’an 2000 ! Pour les accueillir, de grands ensembles sont construits à l’Ouest de la Ville, à Kerlédé, la Chesnaie ou la Bouletterie. De nouvelles écoles ouvrent dans les quartiers ouest, d'abord dans des préfabriqués ou des baraques ayant servi pour les écoles de l’après-guerre

La Ruée
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Gérer
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Avant 1939, Saint-Nazaire compte 34 écoles primaires publiques et privées. Presque toutes sont détruites ou très endommagées par les bombes incendiaires qui touchent la ville.


Après la Libération, des écoles provisoires sont ouvertes à la hâte. Dès le début des années 1950 commence la construction des groupes scolaires prévus dans le plan de reconstruction de la ville : véritable palais scolaires pour les uns, bâtiments standardisés pour les autres, leur architecture témoigne d’ambitions souvent contrariées par les contraintes financières.

 

Dans les années 1960 et surtout 1970, reconstruire ne suffit plus : la ville s’étend vers l’ouest et ce sont des quartiers entiers, fraichement sortis de terre qu’il faut doter en écoles.

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